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Négos du secteur public: «le pari qu’on prend, c’est que la population est derrière nous»

Le Front commun, qui représente plusieurs organisations syndicales, s’est doté d’un mandat de grève voté à 95% par les assemblées générales, un vote historique.

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«Le pari qu’on prend, c’est que la population est derrière nous», estime Éric Gingras, président de la Centrale des syndicats, sur les ondes de LCN. 

M. Gingras soutient que les solutions à ce problème complexe devront être multiples.

«On a besoin de profs, mais les profs ont aussi besoin du personnel de soutien, des professionnels», a rappelé le président de la Centrale des syndicats du Québec. 

«Tout le monde vit ces problèmes de précarité», a-t-il ajouté, rappelant qu’il s’agit d’une négociation cruciale pour les membres. 

«On peinait à attirer du monde, on peinait à les garder dans le réseau. La dernière chose que ça nous prend c’est un gouvernement qui affronte ces travailleuses, ces travailleurs», a-t-il lancé. 

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