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Détails concernant la possibilité de financement
Dates importantes
Concours |
202206MHY
FERMÉ |
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Date limite de présentation des demandes | 2022-06-23 |
Date prévue de l'avis de décision | 2022-11-30 |
Date de début du financement | 2022-10-01 |
Table des matières
Description
La petite enfance, période de 0 et 5 ans, s’avère cruciale pour le développement du cerveau et le développement socio-affectif et est à la base de la santé mentale tout au long de la vie. Durant cette période, la plupart des enfants changent plusieurs fois d’environnement : de la maison aux programmes pour la petite enfance, à la garderie, à la prématernelle et à la maternelle. Ils peuvent aussi interagir avec le système de santé, les services sociaux, les professionnels de la santé et les leaders communautaires, y compris les aînés et les gardiens du savoir autochtones. Ces premières interactions façonnent le développement cérébral et offrent l’occasion de promouvoir une bonne santé mentale et un développement socio-affectif sain, en plus de repérer et de traiter les enfants qui vivent avec un problème de santé mentale ou qui sont susceptibles d’en développer un.
Les interventions fondées sur des données probantes (programmes, services, politiques) peuvent contribuer à la bonne santé mentale durant l’enfance et alléger les risques futurs pour la santé et l’intégration sociale (maladie mentale, consommation problématique de substances psychoactives, décrochage scolaire et démêlés avec le système de justice pénale). Or, pour être efficaces, ces interventions doivent être culturellement sécurisantes (c.‑à‑d. fondées sur les distinctions, adaptées à la diversité des genres, intersectionnelles) et facilement accessibles pour les jeunes enfants (0 à 5 ans). Cela vaut en particulier pour les interventions qui ciblent les enfants et leurs proches aidants en situation vulnérable (pour cause de traumatisme, d’abus ou de violence, de pauvreté) ou historiquement exclus ou mal desservis, comme les membres des communautés racisées, les enfants vivant avec un handicap neurodéveloppemental, les Autochtones (Premières Nations, Inuits, Métis et Autochtones en milieu urbain) et les membres des communautés LGBTQ2+. Ces jeunes enfants et leurs proches aidants courent des risques de mauvaise santé mentale plus élevés que leurs pairs, en partie à cause de l’accès inéquitable ou fragmenté aux programmes et aux services de soutien au développement socio-affectif et psychologique durant la petite enfance, et à cause de l’exposition au racisme systémique et au colonialisme, qui peuvent engendrer des traumatismes intergénérationnels persistants.
La pandémie de COVID-19 est un autre facteur qui a amplifié les disparités en santé et les inégalités sociales et structurelles. Elle a imposé aux enfants et à leurs proches aidants de nouveaux modes de vie qui risquent d’avoir des effets importants et durables sur leur santé mentale et leur bien‑être. De nombreuses personnes ont dû cumuler des rôles et des responsabilités multiples, souvent dans un contexte de perte ou de réduction de la sécurité financière et du soutien social, de deuil causé par la COVID-19 et de suspension ou perturbation des habitudes familiales (garderie, école, activités en plein air). Les programmes, les soins de santé et les autres services à la petite enfance offerts dans la communauté sont interrompus, retardés ou supprimés. Par ailleurs, l’accès aux services de promotion de la santé mentale et de prévention et traitement des problèmes de santé mentale pour les jeunes enfants est mal coordonné au Canada. Nous avons besoin de programmes, de services et de politiques robustes, coordonnés et culturellement sécurisants afin de créer des environnements favorisant une bonne santé mentale et la résilience à toutes les étapes de la vie.
But
La possibilité de financement Subventions d’équipe en science de la mise en œuvre sur la santé mentale durant la petite enfance vise à soutenir des projets de recherche en science de la mise en œuvre qui permettent de mieux comprendre comment améliorer la mise en œuvre systématique et équitable d’interventions fondées sur des données probantes et destinées aux jeunes enfants (c.‑à‑d. filles, garçons et enfants de diverses identités de genre âgés de 0 à 5 ans) et à leurs proches aidants. Ces projets doivent traiter d’au moins un des domaines suivants :
- Promotion d’un développement socio-affectif sain et d’une bonne santé mentale durant la petite enfance;
- Prévention de problèmes de santé mentale durant la petite enfance;
- Traitement de jeunes enfants vivant avec un problème de santé mentale ou à risque d’en développer un par des soins intégrés, coordonnés et axés sur la personne.
Pour atteindre ce but, les projets doivent être axés sur la personne, compter des utilisateurs des connaissances dans l’équipe de recherche et accorder la priorité à l’équité en santé, aux droits des Autochtones, à l’intersectionnalité et à l’analyse comparative fondée sur le sexe et le genre plus (ACSG+). En recourant à la science de la mise en œuvre, cette possibilité de financement vise à élargir les connaissances sur la façon de mettre en application et d’adapter localement des interventions en santé mentale durant la petite enfance, dans divers contextes et secteurs, en en augmentant l’acceptabilité, l’adoption à grande échelle, la pertinence, la faisabilité, la fidélité, la rentabilité, le rayon d’action et la viabilité. Les données probantes qui en découleront contribueront à l’amélioration des programmes, des services et des politiques et favoriseront ainsi la coordination et l’intégration d’une approche plus équitable et culturellement sécurisante chez un large éventail d’intervenants, afin d’accroître les efforts de promotion de la santé mentale et de prévention et traitement des problèmes de santé mentale, ainsi que d’améliorer les soins offerts à cette fin durant la petite enfance.
Les projets peuvent porter sur des interventions (programmes, services, politiques) fondées sur des données probantes dans des milieux de soins officiels et informels, comme à la maison ou dans le système de services sociaux, les programmes pour la petite enfance, les programmes d’apprentissage et de garde des jeunes enfants autochtones, les foyers de revitalisation linguistique autochtones, les garderies, la prématernelle et la maternelle. Les interventions peuvent aussi être axées sur le système de santé, le système d’éducation, les services sociaux, les organismes communautaires et culturels, ou les services de santé publique et de professionnels de la santé et/ou sur l’intégration des soins dans au moins deux de ces secteurs. Toutes les interventions doivent cibler et évaluer la santé mentale et/ou le développement socio-affectif chez les enfants de 0 à 5 ans. Compte tenu du rôle primordial joué par les proches aidants durant la petite enfance, les interventions axées sur la périnatalité ou les aidants seront admissibles, à la condition que ces interventions entraînent l’amélioration de la santé mentale et du bien-être des enfants de 0 à 5 ans.
Mobilisation des connaissances
Pour augmenter la probabilité que les résultats de la recherche en science de la mise en œuvre soient appliqués aux pratiques ou aux politiques, il est important que les équipes financées intègrent des activités de mobilisation, de dissémination et d’échange des connaissances à toutes les étapes de leur programme de recherche. Pour faciliter cette intégration, les équipes doivent inclure des utilisateurs des connaissances, des spécialistes de la mobilisation des connaissances et des personnes pouvant témoigner de leur expérience personnelle. Étant donné que les programmes, services et politiques de santé mentale durant la petite enfance sont difficiles à mettre en œuvre, on s’attend à ce que les équipes collaborent et contribuent à la croissance du réseau national et de la communauté de praticiens travaillant au déploiement équitable des efforts de promotion de la santé mentale et de prévention et traitement des problèmes de santé mentale auprès des jeunes enfants et de leurs proches aidants sur la base de données probantes.
Domaines de recherche prioritaires
En plus de soutenir des projets cadrant avec le but général énoncé ci-dessus, la présente possibilité de financement appuiera des projets correspondant avec les domaines de recherche prioritaires suivants :
Programmes, services et politiques de santé mentale durant la petite enfance destinés aux Premières Nations, aux Inuits, aux Métis et/ou aux Autochtones en milieu urbain – Institut de la santé des Autochtones (ISA) des IRSC :Les données sur la santé mentale des enfants autochtones sont rares au Canada, bien que certaines études montrent que les enfants autochtones vivent plus de problèmes affectifs et comportementaux que les enfants allochtones, et que les jeunes autochtones affichent des taux de suicide plus élevés que la moyenne nationale. Pour prévenir et atténuer ces inégalités, il est nécessaire d’améliorer l’accès à des programmes et à des services de promotion de la santé mentale culturellement sécurisants, axés sur les forces et orientés vers la famille et la communauté, qui favorisent le bien-être psychologique et la résilience des enfants autochtones (0 à 5 ans) et de leur famille. Les projets dans ce domaine doivent être fondés sur les distinctions et tenir compte des déterminants sociaux et structurels de la santé des Autochtones, comme le colonialisme, la langue, la culture, la spiritualité, la géographie, le lien avec la terre, l’autodétermination et les systèmes de connaissances autochtones, qui contribuent aux disparités en santé subies par les Autochtones. Cette classe de financement est axée sur la recherche en santé autochtone qui est réalisée par des communautés, des sociétés ou des personnes autochtones (Premières Nations, Inuits, Métis et/ou Autochtones en milieu urbain), ou qui les concerne ou les fait intervenir, ou encore qui repose sur leur sagesse, leurs cultures, leurs expériences ou leurs systèmes de connaissances exprimés dans des formes dynamiques, passées ou actuelles.
Prévention et traitement du stress post-traumatique par des interventions durant la petite enfance et/ou la période périnatale – Institut des neurosciences, de la santé mentale et des toxicomanies (INSMT) des IRSC : Les expériences négatives durant l’enfance sont fortement associées à une mauvaise santé mentale, notamment au stress post-traumatique et à la détresse qui en découle. Ce lien est particulièrement évident pour les expériences négatives (violence, maltraitance) vécues dans la petite enfance (0 à 5 ans). Les interventions durant la petite enfance et/ou la période périnatale visant à prévenir et à atténuer les conséquences des traumatismes peuvent s’avérer rentables et bénéfiques pour la santé des populations sur plusieurs générations. Cette classe de financement est réservée à des projets examinant les questions d’accessibilité, d’efficacité, de mise en œuvre et/ou de rentabilité dans le contexte de la prévention et de l’atténuation des traumatismes et des problèmes qui en découlent; en voici quelques exemples : interventions en santé mentale durant la période périnatale ciblant les femmes; soutien parental (établissement de relations positives parent-enfant, renforcement des habiletés sociales et affectives); détection précoce de l’adversité (sensibilisation); adaptation de la réponse aux traumatismes et aux expériences négatives (traitements personnalisés pour les familles, les parents et les jeunes enfants). La science de la mise en œuvre peut contribuer à la diffusion et à l’adoption d’interventions fondées sur des données probantes et culturellement sécurisantes pour prévenir et atténuer efficacement les conséquences des expériences négatives vécues durant la petite enfance.
Initiative Repenser la santé par des soins intégrés : repenser la santé mentale durant la petite enfance par des soins intégrés – Institut des services et des politiques de la santé (ISPS) des IRSC : L’absence d’approche thérapeutique intégrée et axée sur la personne nuit à la détermination, à l’accessibilité et à la recherche des soins et des services adaptés aux jeunes enfants (0 à 5 ans) à risque de souffrir de problèmes de santé mentale ou de développement socio-affectif. Il est nécessaire de renforcer l’intégration, la coordination et la continuité des programmes, des politiques et/ou des services culturellement sécurisants ciblant la petite enfance entre tous les secteurs concernés (soins de première ligne, milieu scolaire, soutien parental, services sociaux) afin de contribuer à la poursuite des quatre objectifs (l’amélioration de l’expérience des soins; l’amélioration de la santé des populations; l’amélioration de l’expérience des fournisseurs de soins; l’amélioration du rapport qualité-prix) et de favoriser l’équité en santé pour tous. Les modèles de soins intégrés se sont avérés efficaces sur les plans de la santé physique, mentale et sociale et du système de santé lorsqu’ils sont centrés sur la personne et fortement axés sur la prestation des soins de première ligne, la prévention et les déterminants sociaux de la santé, et lorsqu’ils englobent des collaborations avec des secteurs autres que celui de la santé (éducation, services sociaux). Cependant, ces modèles de soins intégrés et de soutien à la santé mentale et au développement socio-affectif durant la petite enfance ne sont pas encore très largement mis en pratique, et leur adoption à grande échelle demeure un défi. La science de la mise en œuvre peut contribuer à guider la mise en œuvre, l’évaluation et la propagation de politiques et d’interventions thérapeutiques qui sont intégrées et fondées sur des données probantes afin de transformer les risques pour la santé mentale dans la petite enfance; de faciliter l’accès pour les utilisateurs et d’améliorer l’expérience et le bien-être des utilisateurs; de procurer aux fournisseurs les connaissances et les outils nécessaires pour offrir des soins intégrés, adaptés et culturellement sécurisants; et, enfin, de contribuer à la poursuite des quatre objectifs et de l’équité en santé pour tous. L’ISPS facilitera les interactions entre cette équipe et l’initiative Repenser la santé par des sons
Rôle et contribution des partenaires candidats : Les IRSC reconnaissent qu'un large éventail de partenaires peuvent convenir pour la présente possibilité de financement et s'attendent à ce que les candidats décrivent le rôle de tous leurs partenaires candidats et la contribution de chacun aux activités de recherche. Toute considération liée aux risques ou aux conflits d'intérêts doit aussi être expliquée, s’il y a lieu.
Fonds disponibles
La contribution financière des IRSC et des partenaires à cette initiative est assujettie à la disponibilité des fonds. Dans l’éventualité où les fonds des IRSC ou des partenaires ne seraient pas disponibles ou seraient réduits en raison de circonstances imprévues, les IRSC et les partenaires se réservent le droit de réduire, de reporter ou de suspendre le versement des subventions octroyées dans le cadre de la présente possibilité de financement.
- Le montant total disponible dans le cadre de cette possibilité de financement est de 6 250 000 $, ce qui devrait permettre d'accorder environ cinq (5) subventions. Le montant maximal par subvention est de 250 000 $ par année, pour une période maximale de cinq (5) ans et un total de 1 250 000 $ par subvention.
- De ces 6 250 000 $ :
- une somme de 2 500 000 $ est disponible pour le financement de deux (2) demandes pertinentes par rapport au but général de cette possibilité de financement;
- une somme de 1 250 000 $ est disponible pour le financement d’une (1) demande pertinente par rapport au domaine de recherche prioritaire Programmes, services et politiques de santé mentale durant la petite enfance destinés aux Premières Nations, aux Inuits, aux Métis et/ou aux Autochtones en milieu urbain;
- une somme de 1 250 000 $ est disponible pour le financement d’une (1) demande pertinente par rapport au domaine de recherche prioritaire Prévention et traitement du stress post-traumatique par des interventions durant la petite enfance et/ou la période périnatale;
- une somme de 1 250 000 $ est disponible pour le financement d’une (1) demande pertinente par rapport au domaine de recherche prioritaire Repenser la santé mentale durant la petite enfance par des soins intégrés.
- Les demandes pertinentes par rapport à chaque domaine de recherche prioritaire seront financées par ordre de classement, les mieux cotées en premier. Les autres demandes au concours seront regroupées et considérées comme étant pertinentes par rapport au but général de cette possibilité de financement. Elles seront financées par ordre décroissant.
- Les IRSC encouragent les candidats à obtenir la contribution de partenaires, soit en nature ou en espèces, pour accroître le financement disponible ou optimiser l’impact et la portée de la recherche. Cela dit, les partenariats ne sont pas obligatoires.
Pour obtenir des précisions sur l’utilisation adéquate des fonds, consultez la section Coûts admissibles.
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Objectifs
La possibilité de financement devrait permettre ce qui suit :
- Trouver des solutions pour renforcer la mise en œuvre d’interventions culturellement sécurisantes (programmes, services, politiques) ciblant des populations variées afin d’accroître les efforts de promotion de la santé mentale et de prévention et traitement des problèmes de santé mentale, ainsi que d’améliorer les soins offerts à cette fin durant la petite enfance.
- Contribuer au progrès de la science de la mise en œuvre au regard de la mise en œuvre équitable, coordonnée et viable d’interventions culturellement sécurisantes visant à améliorer la santé mentale durant la petite enfance.
- Stimuler les collaborations interdisciplinaires et intersectorielles dans la promotion de la santé mentale et dans la prévention et le traitement des problèmes de santé mentale, de même que dans les soins offerts à cette fin durant la petite enfance, pour susciter une mobilisation et une participation significatives.
- Développer et stimuler les capacités de recherche et de mobilisation des connaissances en science de la mise en œuvre parmi les chercheurs, les stagiaires et les utilisateurs des connaissances œuvrant à l’amélioration de la santé mentale durant la petite enfance.
- Assurer la représentation et la participation significatives de personnes ayant historiquement fait face à des obstacles dans l’écosystème de la recherche, notamment les personnes marginalisées en raison de leur genre, les Autochtones, les minorités racisées, les personnes handicapées et les membres des communautés LGBTQ2+.
- Renforcer l’excellence en recherche et assurer un impact maximal par l’application de divers facteurs identitaires de nature biologique et/ou socioculturelle dans le plan de recherche, notamment diverses méthodes de recherche comme celles fondées sur les systèmes de connaissances autochtones, et par la mobilisation de personnes pouvant témoigner de leur expérience personnelle.
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Admissibilité
Conditions d’admissibilité
Pour qu’une demande soit admissible :
- Le candidat principal désigné (CPD) doit être :
- un chercheur indépendant rattaché à un établissement d’enseignement postsecondaire canadien ou à ses établissements affiliés, notamment les hôpitaux, les instituts de recherche et les autres organisations sans but lucratif qui ont un mandat de recherche en santé ou de mobilisation des connaissances;
OU - une personne affiliée à un organisme non gouvernemental autochtone au Canada dont le mandat inclut la recherche ou la mobilisation des connaissances (voir la section Administration des fonds);
OU - un organisme non gouvernemental autochtone au Canada dont le mandat inclut la recherche ou la mobilisation des connaissances (voir la section Administration des fonds).
- un chercheur indépendant rattaché à un établissement d’enseignement postsecondaire canadien ou à ses établissements affiliés, notamment les hôpitaux, les instituts de recherche et les autres organisations sans but lucratif qui ont un mandat de recherche en santé ou de mobilisation des connaissances;
- Le CPD (s’il s’agit d’une personne) doit remplir ses principales fonctions au Canada durant toute la période de financement.
- L’établissement payé doit être autorisé à administrer des fonds des IRSC avant que le financement ne puisse être versé (voir la section Administration des fonds).
- Le projet de recherche doit être dirigé par un chercheur indépendant et un utilisateur des connaissances.
- Si le CPD est un chercheur indépendant, le coresponsable doit être un utilisateur des connaissances désigné comme utilisateur des connaissances principal (UCP). Au moment de présenter la demande, le coresponsable doit détenir un poste où il travaille activement à concevoir ou à mettre en œuvre des programmes, des services et/ou des politiques de santé mentale pour la petite enfance.
- Si le CPD est un utilisateur des connaissances, le coresponsable doit être un chercheur indépendant désigné comme candidat principal (CP).
- En plus des coresponsables (conditions 1 à 4), l’équipe candidate doit inclure :
- une personne pouvant témoigner de son expérience personnelle, un membre de la famille d’un patient, un proche aidant ou un patient, désigné comme utilisateur des connaissances;
- Dans le contexte de cette possibilité de financement, un « patient » est un terme général qui englobe les individus ayant été directement touchés par un problème de santé ainsi que les proches aidants, y compris les amis et la famille. Veuillez consulter le Cadre d’engagement des patients de la SRAP pour plus de détails.
- un autre chercheur indépendant désigné comme CP.
- une personne pouvant témoigner de son expérience personnelle, un membre de la famille d’un patient, un proche aidant ou un patient, désigné comme utilisateur des connaissances;
- Un chercheur en début de carrière (CDC) doit être désigné comme CPD ou CP.
- L’équipe candidate doit aussi inclure les participants suivants. Ceux-ci peuvent occuper d’autres rôles parallèlement à ceux indiqués ci-dessous.
- un responsable de la mobilisation des connaissances ayant de l’expérience dans la conception et la mise œuvre d’activités et de plans de mobilisation des connaissances intégrée;
- un spécialiste de l’équité, de la diversité et de l’inclusion (EDI) ayant de l’expérience dans l’intégration d’une perspective sensible au sexe, au genre et à la diversité dans la planification et la conduite de la recherche.
- Le CPD, le coresponsable et le spécialiste de l’EDI doivent avoir suivi l’un des modules de formation sur l’analyse comparative fondée sur le sexe et le genre accessibles en ligne sur le site de l’Institut de la santé des femmes et des hommes des IRSC, et doivent soumettre un certificat de réussite (voir la section Comment faire une demande).
- Pour les demandes faisant intervenir des Autochtones, mais n’ayant pas été soumises dans la classe de financement de l’ISA, au moins un membre de l’équipe de recherche occupant un des rôles principaux (c.-à-d. CP ou UCP) doit se déclarer lui-même Autochtone (membre des Premières Nations, Inuit ou Métis) ou attester de relations significatives et culturellement sécurisantes avec des Autochtones (voir la section Comment faire une demande).
- Pour être admissibles à la classe de financement Programmes, services et politiques de santé mentale durant la petite enfance destinés aux Premières Nations, aux Inuits, aux Métis et/ou aux Autochtones en milieu urbain :
- Le CPD et l’UCP doivent se déclarer Autochtones (membre des Premières Nations, Inuit ou Métis) ou attester de relations significatives et culturellement sécurisantes avec des Autochtones (voir la section Comment faire une demande).
- L’équipe candidate doit inclure un aîné autochtone et/ou un gardien du savoir autochtone dans n’importe quel rôle.
- Le spécialiste de l’EDI doit posséder une expérience significative et culturellement sécurisante en matière d’analyse comparative fondée sur le sexe et le genre ou de diversité de genre dans les communautés autochtones.
- Le responsable de la mobilisation des connaissances doit posséder une expérience significative et culturellement sécurisante en mobilisation des connaissances auprès des communautés autochtones.
Incidence de la COVID-19 sur les chercheurs en début de carrière
En raison de la pandémie de COVID-19, les IRSC ont temporairement prolongé la période d’admissibilité au statut de CDC, qui est passée de 0-60 mois à 0-84 mois.
Les IRSC suivront de près la pandémie et son incidence sur les CDC en général et sur des groupes précis dans les cas où une intervention supplémentaire serait justifiée.
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Lignes directrices
Politiques générales des IRSC
Avant de présenter une demande dans le cadre de cette possibilité de financement, les candidats doivent passer en revue les politiques et les lignes directrices pertinentes à la page Politiques de financement des IRSC pour s’assurer de comprendre leurs responsabilités et les attentes à leur égard.
Coûts admissibles
Il est conseillé aux candidats de consulter la section Utilisation des subventions du Guide d’administration financière des trois organismes (GAFTO) (CRSH, CRSNG et IRSC) pour se renseigner sur les principes généraux et les directives (exigences obligatoires) régissant l’utilisation appropriée des subventions.
Voici une liste d’exemples de dépenses en lien avec la présente possibilité de financement qui sont considérées comme appropriées lorsqu’elles sont conformes aux principes et aux directives du GAFTO :
- Salaire à temps plein ou à temps partiel des membres de l’équipe de recherche, y compris les membres désignés comme candidats, à la condition a) qu’ils ne mènent pas de recherches de façon indépendante en vertu de leurs conditions de travail (c.‑à‑d. chercheurs en milieu universitaire ou hospitalier, dans des instituts de recherche) ou b) qu’ils ne reçoivent pas de rémunération d’une autre source pour le temps consacré aux recherches/activités financées. Pour plus de renseignements, veuillez consulter la directive sur les dépenses liées à l’embauche et à la rémunération.
- Coûts de location et de fonctionnement de locaux dans des établissements non universitaires, s’ils sont justifiés comme coûts directs du projet de recherche. Les coûts doivent couvrir la location des locaux requis spécifiquement pour le projet de recherche, qui autrement, ne seraient pas accessibles à l’établissement.
- L’Énoncé de politique des trois conseils 2 (EPTC 2, chapitre 9 – Recherche impliquant les Premières Nations, les Inuits ou les Métis du Canada) tient compte de l’importance de respecter la culture et les traditions autochtones ainsi que du besoin d’engager des dépenses à cet égard dans la réalisation de recherches. Ainsi, ces dépenses sont considérées comme admissibles au paiement à même le financement octroyé au titulaire de la subvention (avec pièces justificatives à l’appui).
- Coûts liés à la mobilisation et à la participation de la communauté, ce qui comprend le matériel promotionnel adapté à la culture (p. ex. tabac, étoffe, festins et cadeaux offerts lors de cérémonies) et les remboursements en espèces des frais de participation, selon une méthode qui convient à la personne ou à la communauté recevant le remboursement.
- Frais liés à la passation de contrats et/ou à l’embauche de consultants pour des activités d’application des connaissances et de communication destinées aux aînés, aux membres de la communauté et aux gardiens du savoir autochtone participant aux activités liées à la communauté autochtone.
Certaines des exigences du GAFTO ont été adaptées pour soutenir les objectifs de la présente possibilité de financement. Les exigences suivantes s’appliqueront donc seulement à cette possibilité de financement :
- L’allocation de détachement est un coût admissible pour faciliter la participation des utilisateurs des connaissances à la recherche.
- Les fonds des IRSC ne peuvent servir à financer la mise en œuvre d’interventions.
- Les fonds des IRSC ne devraient pas servir au paiement de frais normalement associés au système de soins de santé ni à d’autres secteurs comme les systèmes d’éducation ou de justice pénale. Ainsi, bien que les fonds des IRSC puissent être utilisés pour l’élaboration, l’évaluation et l’adaptation d’interventions, ils ne peuvent servir à la mise en œuvre d’interventions existantes. Cette directive vise non seulement à préserver le budget des IRSC pour la recherche, mais aussi à promouvoir la viabilité de ces interventions une fois mises en œuvre.
Conditions de financement
- Le candidat doit donner son consentement à l'utilisation et à la divulgation de la demande détaillée et de l’information nominative au moment de la demande, aux fins de l’évaluation de la pertinence et/ou des décisions relatives au financement par les commanditaires concernés.
- Les données issues de la recherche effectuée par ou avec les Premières Nations, les Métis, les Inuits ou les Autochtones en milieu urbain dont les territoires traditionnels et ancestraux sont au Canada doivent être gérées conformément aux principes de gestion des données établis et approuvés par ces communautés sur la base d'un consentement préalable, libre et éclairé. Il faut notamment tenir compte de la souveraineté des données, ainsi que de la collecte, de la propriété, de la protection, de l'utilisation et de la communication des données autochtones.
- Le coresponsable du projet et le responsable de la mobilisation des connaissances seront tenus de participer à un atelier de renforcement de la mobilisation des connaissances dans les six (6) premiers mois de la subvention. Des détails sur l’atelier seront fournis au début de la période de financement. Les coûts de participation à cet atelier doivent être prévus dans le budget de la subvention.
- Le coresponsable du projet et le responsable de la mobilisation des connaissances seront en outre tenus de participer à des rencontres annuelles de mobilisation des connaissances. Pour les équipes dont le projet fait intervenir des Autochtones, au moins un participant à ces rencontres doit se déclarer Autochtone ou représenter un organisme autochtone. Les coûts de participation à ces rencontres doivent être prévus dans le budget de la subvention.
- Le candidat principal désigné (CPD) devra soumettre aux IRSC un rapport d’étape sommaire à la fin de la troisième (3e) année.
- Le CPD devra soumettre aux IRSC un rapport sommaire décrivant les principales retombées des travaux de son équipe à la fin de la cinquième (5e) année.
- Le CPD devra soumettre un rapport final aux IRSC par voie électronique. Un gabarit de ce rapport sera accessible dans RechercheNet au début de la période de financement de la subvention et pourra être rempli au fil des travaux.
- Tous les rapports seront transmis aux partenaires appuyant la subvention.
- Le CPD devra contribuer à la surveillance, à l’examen et à l’évaluation des programmes, politiques et processus des IRSC en participant à des études d’évaluation, à des sondages, à des ateliers et à des vérifications, et en fournissant des données ou des rapports, au besoin, dans le but de recueillir l’information nécessaire à l’évaluation des progrès et des résultats.
- Les candidats principaux et les utilisateurs des connaissances principaux subventionnés dans le cadre de ce concours sont fortement encouragés à participer activement à l’évaluation par les pairs et à devenir membres du Collège des évaluateurs des IRSC lorsqu’ils sont invités à le faire.
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Processus d'examen et évaluation
Les instituts des IRSC participant à la possibilité de financement procéderont à l’évaluation de la pertinence en vue de déterminer quelles demandes sont conformes aux objectifs, au but général et, selon le cas, aux domaines de recherche prioritaires de la présente possibilité de financement. Le résumé doit clairement expliquer en quoi le projet correspond aux objectifs, au but général et à la classe de financement sélectionnée.
Pour être jugés pertinents par rapport au domaine de recherche prioritaire Programmes, services et politiques de santé mentale durant la petite enfance destinés aux Premières Nations, aux Inuits, aux Métis et/ou aux Autochtones en milieu urbain, les projets doivent s’inscrire dans le mandat de l’ISA et être axés sur les Autochtones (Premières Nations, Inuits, Métis et/ou Autochtones en milieu urbain). En outre, l’équipe doit prouver que des Autochtones participent à la direction du projet et/ou que le projet sera réalisé avec des méthodes de recherche autochtones.
Les demandes jugées non pertinentes seront retirées du concours.
Processus d’évaluation
L’évaluation par les pairs sera effectuée conformément aux Lignes directrices pour l’évaluation – initiatives de recherche priorisée. Un processus itératif d’évaluation par les pairs pourrait être appliqué, au besoin, aux demandes dans la classe de financement Programmes, services et politiques de santé mentale durant la petite enfance destinés aux Premières Nations, aux Inuits, aux Métis et/ou aux Autochtones en milieu urbain.
Pour obtenir de l’information sur les principes d’évaluation par les pairs des IRSC, consultez la page Évaluation par les pairs : aperçu, du site Web des IRSC.
Critères d’évaluation
- Approche de recherche
- Mesure dans laquelle la proposition répond aux objectifs et au but général, ainsi qu’au domaine de recherche prioritaire sélectionné, le cas échéant.
- Pertinence du plan et des méthodes de recherche.
- Pertinence et qualité du plan de mobilisation des connaissances intégrée.
- Mesure dans laquelle la mobilisation des intervenants et des utilisateurs des connaissances pertinents est incluse dans la recherche proposée et l’approche de mobilisation des connaissances intégrée.
- Pertinence de la structure de gouvernance proposée et de son plan d’exécution.
- Prévision des difficultés risquant de survenir durant la recherche et plans pour les gérer.
- Qualité et pertinence de la prise en compte de l’équité, de la diversité et de l’inclusion (EDI) et des droits des Autochtones dans la recherche proposée. Veuillez consulter les pages Pratiques exemplaires en matière d’équité, de diversité et d’inclusion en recherche et Comment intégrer le sexe et le genre à la recherche pour plus de renseignements.
- Pour les projets de recherche faisant intervenir des membres des Premières Nations, des Inuits, des Métis ou des communautés autochtones en milieu urbain :
- Mesure dans laquelle la recherche proposée répond aux priorités des communautés autochtones, mesure dans laquelle la recherche est réalisée par ou avec des communautés, des sociétés ou des personnes autochtones (Premières Nations, Inuits, Métis ou Autochtones en milieu urbain), et mesure dans laquelle la recherche porte ou repose sur ces groupes ou personnes, ou sur leur sagesse, leurs cultures, leurs expériences ou leurs systèmes de connaissances exprimés dans des formes dynamiques, passées ou actuelles.
- Degré de conformité de la proposition de recherche au chapitre 9 de l’Énoncé de politique des trois conseils : Recherche impliquant les Premières Nations, les Inuits ou les Métis du Canada.
- Mesure dans laquelle la proposition respecte le droit des Autochtones à l’autodétermination et à l’autogouvernance, notamment par l’adhésion aux principes de PCAP® des Premières Nations1 (propriété, contrôle, accès et possession) ou aux principes FAIR (en anglais seulement) (facile à trouver, accessible, interexploitable, réutilisable) ainsi qu’aux principes CARE (en anglais seulement) (avantage collectif, autorité, responsabilité, éthique) pour la gouvernance des données autochtones, ou à d’autres principes d’autogouvernance des Autochtones.
- Équipe
- Expérience des candidats dans le domaine de recherche proposé et en science de la mise en œuvre.
- Capacité de l’équipe de candidats de mener la recherche proposée, en ce qui a trait au potentiel synergique des membres et à la façon dont leur expertise se complète.
- Qualité et valeur du partenariat entre les chercheurs et les utilisateurs des connaissances.
- Mesure dans laquelle les utilisateurs des connaissances participeront de façon significative au projet tout au long de sa durée.
- Importance du rôle et de l’apport de tous les partenaires candidats dans la poursuite des objectifs de recherche (s’il y a lieu).
- Prise en compte proactive et significative des risques associés aux partenariats, y compris les conflits d'intérêts réels ou apparents, et pertinence du plan de gestion et d'atténuation des risques (s’il y a lieu).
- Qualité et pertinence de l’engagement de l’équipe de recherche à faire intervenir toutes sortes de gens, notamment des membres de Premières Nations, des Métis et des Inuits lorsque les questions liées à la santé des Autochtones ou des communautés autochtones sont pertinentes. Veuillez consulter la page Pratiques exemplaires en matière d’équité, de diversité et d’inclusion en recherche pour plus de renseignements.
- Pour les projets de recherche faisant intervenir des membres des Premières Nations, des Inuits, des Métis ou des communautés autochtones en milieu urbain :
- Mesure dans laquelle l’équipe de recherche possède les connaissances, l’expertise et l’expérience voulues en recherche dans le domaine de la santé autochtone, et complémentarité de l’expertise et potentiel synergique de l’équipe pour réaliser la recherche en santé autochtone.
- Démonstration des capacités et de l’expérience que possède l’équipe de recherche lui permettant de travailler avec des communautés autochtones d’une façon significative et culturellement sécurisante.
VEUILLEZ NOTER qu’au moment de rédiger leur demande, les candidats doivent protéger les renseignements personnels et confidentiels de tous les membres de l’équipe, ce qui comprend la façon dont une personne s’identifie. Cette information ne doit pas être divulguée sans le consentement de la personne concernée.
- Environnement de recherche et développement des capacités
- Disponibilité et accessibilité du personnel, des installations et de l’infrastructure nécessaires pour mener les activités proposées.
- Environnement propice à la réalisation de la recherche proposée.
- Environnement propice au soutien et à la participation de stagiaires ou de chercheurs en début de carrière.
- Pour les projets de recherche faisant intervenir des membres des Premières Nations, des Inuits, des Métis ou des communautés autochtones en milieu urbain :
- Mesure dans laquelle l’environnement permet de favoriser le développement des capacités de recherche parmi les stagiaires autochtones basés dans des établissements (universités, hôpitaux, organismes non gouvernementaux) et/ou dans la communauté, et preuve d’interactions significatives et culturellement sécurisantes.
- Impact de la recherche
- Probabilité que le projet produise des données probantes qui faciliteront la mise en œuvre et la coordination d’interventions éprouvées afin de favoriser une bonne santé mentale durant la petite enfance par l’amélioration des soins et des efforts de promotion, de prévention et de traitement.
- Potentiel d’impact du projet durant la période de financement et au-delà.
- Pertinence des stratégies proposées pour la mobilisation des connaissances.
- Potentiel de contribution à l’avancement de la science de la mise en œuvre dans le domaine de la santé mentale durant la petite enfance.
- Pour les projets de recherche faisant intervenir des membres des Premières Nations, des Inuits, des Métis ou des communautés autochtones en milieu urbain :
- Probabilité que le projet génère des résultats importants du point de vue des participants des Premières Nations, des Inuits, des Métis et des communautés autochtones en milieu urbain, ainsi que de la population autochtone en général.
- Budget
- Réalisme et justification du budget par rapport aux activités proposées.
Décision relative au financement
Le financement sera remis à la demande ayant obtenu la cote la plus élevée dans chaque domaine de recherche prioritaire, après quoi toutes les demandes du concours seront regroupées et financées par ordre de classement.
Le nom des candidats financés sera publié sur le site Web des IRSC.
Participation des partenaires et des collaborateurs internes
L’occasion d’ajouter des partenaires et des collaborateurs internes peut se présenter après la publication de la possibilité de financement. Ces partenaires et collaborateurs internes ne sont peut-être pas énumérés, mais les principes qui gouvernent l’évaluation de la pertinence, y compris le consentement à la divulgation d’information, et les décisions relatives au financement s’appliquent toujours.
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Comment faire une demande
- Pour présenter votre demande, veuillez suivre les instructions à la page Subventions d’équipe / Subventions d’équipe émergente – Instructions pour l’étape « Présentation d’une demande » à l’aide de RechercheNet ainsi que toute autre directive fournie dans la section « Instructions particulières » ci-dessous.
- Tous les participants identifiés (à l’exception des collaborateurs) devront :
- obtenir un NIP des IRSC;
- remplir le questionnaire sur l'équité et la diversité.
- Les organisations qui présentent une demande comme candidat principal désigné pour la première fois doivent communiquer avec le Centre de contact des IRSC pour savoir comment se créer un compte RechercheNet et demander un NIP des IRSC.
- Tous les documents doivent être en format PDF et respecter les lignes directrices sur les formats acceptés pour les demandes et les pièces jointes.
Instructions particulières pour présenter une demande dans RechercheNet
Tâche : Identifier les participants
- Dressez la liste de tous les participants. Consultez la section Admissibilité et assurez-vous que toutes les exigences sont respectées. Tous les participants doivent aussi être identifiés dans le tableau des participants à la tâche « Joindre d’autres documents relatifs à la demande » (voir ci-dessous).
- Tous les participants doivent soumettre un CV (à l’exception des collaborateurs).
- Les candidats universitaires canadiens doivent soumettre un CV abrégé des IRSC.
- Les utilisateurs des connaissances, les candidats non universitaires, les organisations autochtones et les candidats étrangers doivent soumettre un CV abrégé des IRSC ou un CV Profil du candidat (maximum de trois pages par participant). Chaque CV Profil du candidat doit comprendre de 5 à 10 mots-clés décrivant l’expertise du candidat, un résumé des études, des affiliations actuelles et antérieures, et de l’expérience d’emploi ou de recherche du candidat, avec les dates correspondantes, ainsi que toute information pertinente pour le rôle du participant dans le cadre de la proposition. Remarque : L'utilisateur des connaissances désigné comme coresponsable doit fournir des détails sur son poste dans lequel il travaille à concevoir ou à mettre en œuvre des programmes, des services et/ou des politiques de santé mentale pour la petite enfance.
- Dans les cas où le CPD est un organisme non gouvernemental autochtone ou est affilié à un tel organisme, le CPD doit inclure dans son CV Profil du candidat une description de l'organisme et de la manière dont il répond au critère d'admissibilité selon lequel il doit être un organisme non gouvernemental autochtone au Canada dont le mandat inclut la recherche ou la mobilisation des connaissances. La description doit comprendre le mandat de l’organisme, de 5 à 10 mots-clés décrivant l’expertise, la participation actuelle ou antérieure à la recherche, avec les dates correspondantes, ainsi que toute autre information pertinente.
- Déclaration écrite des patients : Les participants clés faisant partie du groupe des patients/membres de la famille/proches aidants doivent inclure dans leur CV Profil du candidat une description de leur expérience personnelle dans le contexte de la demande.
- Fournissez un CV abrégé à l’aide de l’interface du CV commun canadien (CVC). Présentez des CV Profil du candidat et des CV personnels en les téléchargeant à l’onglet « Pièces jointes ».
Tâche : Entrer l’information sur la proposition
- La proposition de recherche devrait clairement aborder chacun des critères d’évaluation.
- Les candidats qui présentent une proposition de recherche en français pourront soumettre des pages supplémentaires, puisqu’il a été établi que les documents en français nécessitent environ 20 % d’espace de plus que des documents similaires en anglais. Par conséquent, pour qu’un espace équivalent soit accordé aux propositions de recherche soumises dans l’une ou l’autre des langues officielles, les limites suivantes s’appliquent :
- 10 pages si la proposition de recherche est rédigée en anglais;
- 12 pages si la proposition de recherche est rédigée en français.
Remarque : Toute page supplémentaire pages permises (10 en anglais ou 12 en français) sera retirée sans autre avis au candidat principal désigné.
- La proposition de recherche doit être un document autonome (c.-à-d. qu’elle doit contenir toute l’information nécessaire en vue d’appuyer le plan de recherche, ainsi qu’une description complète du projet).
- Des graphiques, des tableaux, des figures, des photos et des références peuvent être annexés à la proposition de recherche.
Tâche : Préparer le résumé de la proposition de recherche
- Le résumé doit expliquer comment la proposition concorde avec les objectifs et le but général de la possibilité de financement, ainsi qu’avec le domaine de recherche prioritaire sélectionné, le cas échéant. Veuillez noter que le résumé ne doit pas dépasser une (1) page.
Tâche : Entrer les renseignements sur le budget
- Détails de l’aide financière demandée :
- Fournissez une justification détaillée du budget par rapport aux activités prévues et justifiez clairement tous les postes budgétaires (y compris les contributions en espèces ou avec valeur en espèces, le cas échéant).
- Les candidats doivent prévoir dans leur budget les coûts de transport et d’hébergement associés à la participation du coresponsable du projet et du responsable de la mobilisation des connaissances à un atelier de renforcement de la mobilisation des connaissances au début de la subvention, et aux réunions annuelles de mobilisation des connaissances (voir les Conditions de financement).
- Pour les demandes d’allocation de détachement, le cas échéant, il faut inclure une lettre (à télécharger sous « Autres documents à l’appui ») de l’organisme du titulaire certifiant que la personne pour qui l’allocation de détachement est demandée :
- est un utilisateur des connaissances dans le cadre du projet subventionné, dont les principales responsabilités ne comprennent pas une participation attendue à la recherche (ne faisant pas partie de son emploi régulier);
- a l’approbation de son organisme pour le temps de recherche consacré au projet qui justifierait l’allocation;
- participe aux activités pour lesquelles les fonds sont déboursés.
Tâche : Joindre d’autres documents relatifs à la demande
- Téléchargez les documents suivants sous « Autre » :
- « Formation en ACSG+ – Nom » (obligatoire pour le CPD, le coresponsable et le spécialiste de l’EDI un document par personne) – si le CPD est un organisme, indiquez le nom de la personne ayant suivi le module.
- Après avoir terminé le module de formation s’appliquant au projet de recherche, vous recevrez un certificat que vous allez sauvegarder et télécharger ici. Le module de formation nécessitera environ 40 minutes de votre temps.
- Remarque : Le certificat était auparavant transmis en tant que document sécurisé. Si votre certificat est sécurisé, vous devez en télécharger une copie non sécurisée en format PDF pour pouvoir le joindre à votre demande. Les captures d’écran et les documents numérisés seront acceptés
- Pour les demandes faisant intervenir des Autochtones et les demandes dans la classe de financement Programmes, services et politiques de santé mentale durant la petite enfance destinés aux Premières Nations, aux Inuits, aux Métis et/ou aux Autochtones en milieu urbain :
- « Plan de mobilisation des Autochtones » (obligatoire) : Décrivez comment le projet respectera les droits des Autochtones ainsi que l’autodétermination et l’autogouvernance des Autochtones, notamment par l’adhésion aux principes de PCAP® des Premières Nations1, aux principes FAIR (en anglais seulement) pour la gestion et la gérance des données scientifiques et aux principes CARE (en anglais seulement) pour la gouvernance des données autochtones, ou à d’autres principes d’autogouvernance des Autochtones, s’il y a lieu (maximum de deux [2] pages).
- « Expérience autochtone – Nom » (obligatoire) :
- La présente possibilité de financement s’adresse à des candidats qui se déclarent Autochtones (membres des Premières Nations, Inuits ou Métis) ou qui attestent de relations significatives et culturellement sécurisantes avec des Autochtones.
- Décrivez comment le candidat répond à cette exigence (maximum d’une [1] page).
- Document sur les conflits d'intérêts des partenaires candidats (obligatoire, s’il y a lieu) : Décrivez le rôle des partenaires candidats et leur contribution aux activités de recherche et abordez toute considération liée aux risques et/ou aux conflits d'intérêts, s'il y a lieu (maximum d'une page).
Remarque : Les pièces jointes sous « Autre » doivent respecter les limites de pages indiquées; toute page excédentaire sera retirée sans autre avis au candidat principal désigné.
- « Formation en ACSG+ – Nom » (obligatoire pour le CPD, le coresponsable et le spécialiste de l’EDI un document par personne) – si le CPD est un organisme, indiquez le nom de la personne ayant suivi le module.
- Tableau des participants (obligatoire) – à télécharger sous « Tableau des participants » :
- Sous forme de tableau, fournissez une liste de tous les participants (y compris les collaborateurs) en indiquant leurs affiliations, leur région, leur rôle dans le projet (CPD, candidat principal, cocandidat, utilisateur des connaissances principal, utilisateur des connaissances, collaborateur) et le groupe d’intervenants ou de partenaires qu’ils représentent (coresponsable du projet, patient, chercheur indépendant, utilisateur des connaissances, responsable de la mobilisation des connaissances, chercheur en début de carrière, spécialiste de l’EDI, personne affiliée à un organisme non gouvernemental autochtone, organisme non gouvernemental autochtone, participant se déclarant Autochtone ou attestant de relations significatives et culturellement sécurisantes avec des communautés autochtones, aîné ou gardien du savoir autochtone, etc.), et décrivez brièvement l’expertise (et les produits, s’il y a lieu) que chacun (y compris les collaborateurs) met au service du projet.
- Publications (facultatif) – à télécharger sous « Publications » :
- Liste d’au plus dix (10) publications pertinentes pour la proposition (maximum d’une [1] page).
Tâche : Identifier les partenaires prenant part à la demande (obligatoire, le cas échéant)
- Le formulaire Détails du partenariat doit être soumis pour chaque partenaire fournissant des contributions en espèces ou en nature. Il doit être sauvegardé et téléchargé dans RechercheNet.
- Pour chaque partenaire, téléchargez une « lettre du partenaire » signée décrivant son rôle, ses activités, ses pouvoirs, ses obligations redditionnelles et ses contributions (intellectuelles, financières – en espèces ou avec valeur en espèces – et autres ressources).
Tâche : Entrer l’information relative à l’administration de l’évaluation par les pairs
- Les candidats sont encouragés à suggérer des évaluateurs du Canada ou de l’étranger qui, selon eux, ont l’expertise requise pour évaluer leur demande.
Tâche : Présenter une demande dans le cadre d’une annonce de priorités/classe de financement (facultatif)
Les candidats qui ne présentent pas de demande dans un domaine de recherche prioritaire ne doivent pas sélectionner une classe de financement.
- Les candidats qui soumettent une demande dans un domaine de recherche prioritaire doivent sélectionner le titre de la possibilité de financement sous le menu déroulant « Titre de l’annonce de priorités/de la classe de financement », puis choisir le domaine souhaité. Plus d’une classe de financement peut être sélectionnée, s’il y a lieu.
- Formulaire sur la pertinence : Décrivez (en une demi-page) comment la recherche proposée cadre avec le domaine de recherche prioritaire sélectionné.
Tâche : Imprimer et télécharger les pages de signatures
- Signatures requises
- Les signatures sont requises pour tous les candidats (sauf les collaborateurs) et les signataires autorisés de l’établissement payé.
- Les signatures originales ne sont pas exigées. Numérisez et téléchargez les pages de signatures dûment remplies, y compris la fiche de circulation, à la tâche Imprimer et télécharger les pages de signatures dans RechercheNet avant de présenter votre demande.
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Coordonnées
Pour toute demande de renseignements :
Centre de contact des IRSC
Téléphone : 613-954-1968
Numéro sans frais : 1-888-603-4178
Courriel : support-soutien@cihr-irsc.gc.ca
Pour nos heures de service, veuillez consulter la page Contactez-nous.
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Description des commanditaires
Pour toute demande de renseignements :
Centre de contact des IRSC
Téléphone : 613-954-1968
Numéro sans frais : 1-888-603-4178
Courriel : support-soutien@cihr-irsc.gc.ca
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11-J: “Sponsor Description”
Remarque : Il se peut que d’autres partenaires ou collaborateurs internes, y compris des partenaires ou collaborateurs de l'industrie et du secteur privé, se joignent à la présente initiative de financement au cours de l'année qui vient.
Collaborateurs internes
Instituts de recherche en santé du Canada
Les Instituts de recherche en santé du Canada (IRSC) savent que la recherche a le pouvoir de changer des vies. En tant qu’organisme fédéral chargé d’investir dans la recherche en santé, ils collaborent avec des partenaires et des chercheurs pour appuyer les découvertes et les innovations qui améliorent la santé de la population et le système de soins du Canada.
Institut du développement et de la santé des enfants et des adolescents (IDSEA) des IRSC
L’Institut du développement et de la santé des enfants et des adolescents (IDSEA) investit dans la recherche favorisant une santé optimale pour tous les Canadiens et les Canadiennes dès les premiers instants de la vie. En appuyant la recherche destinée à améliorer la santé reproductive ainsi que la santé des enfants et des adolescents, l’IDSEA aide les jeunes et leur famille à réaliser leur plein potentiel de croissance et de développement.
Institut de la santé des Autochtones (ISA) des IRSC
L’Institut de la santé des Autochtones (ISA) favorise l’avancement d’un programme national de recherche en santé pour améliorer et promouvoir la santé des Premières Nations, des Inuits, des Métis et des Autochtones en milieu urbain au Canada, par la recherche, l’application des connaissances et le renforcement des capacités. L’Institut vise l’excellence en recherche en se fondant sur les connaissances et les priorités des communautés, et en étant sensible à leurs valeurs et à leur culture.
Institut des neurosciences, de la santé mentale et des toxicomanies (INSMT) des IRSC
L’Institut des neurosciences, de la santé mentale et des toxicomanies (INSMT) appuie la recherche visant à améliorer la santé mentale, la santé neurologique, la vision, l’ouïe et le fonctionnement cognitif, et à réduire l’incidence des troubles connexes par des stratégies de prévention, le dépistage, le diagnostic, le traitement, les systèmes de soutien et les soins palliatifs.
Institut des services et des politiques de la santé (ISPS) des IRSC
L’Institut des services et des politiques de la santé (ISPS) s’engage à appuyer des initiatives en matière de recherche innovatrice, de renforcement des capacités et d’application des connaissances conçues pour améliorer l’organisation, la réglementation, la gestion, le financement, le paiement, l’utilisation et la prestation des services de soins de santé, dans le but d’améliorer la santé et la qualité de vie de toute la population canadienne
Stratégie de recherche axée sur le patient (SRAP)
Les IRSC sont un partenaire de la Stratégie de recherche axée sur le patient (SRAP) du Canada. La SRAP est une coalition nationale de partenaires fédéraux, provinciaux et territoriaux (défenseurs des droits des patients, autorités sanitaires provinciales, centres universitaires de santé, organisations caritatives, organisations philanthropiques, secteur pharmaceutique, etc.), tous voués à l’intégration de la recherche aux soins — le bon patient reçoit les bons soins au bon moment.
La recherche axée sur le patient se concentre sur les priorités établies par les patients. Elle produit de l’information à l’intention des décideurs et des fournisseurs de soins de santé, qui contribue à améliorer les traitements, les politiques et les pratiques en matière de soins de santé. Elle contribue aussi à la mise en pratique d’approches diagnostiques et thérapeutiques novatrices adaptées aux besoins.
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Information additionnelle
Science de la mise en œuvre
La science de la mise en œuvre consiste en l’étude scientifique des méthodes et des stratégies qui facilitent l’utilisation de la recherche et l’adoption de pratiques fondées sur des données probantes par des praticiens et des responsables des politiques dans leur travail quotidien.
Ce domaine de la science vise à réduire systématiquement l’écart entre ce que nous savons et ce que nous faisons (autrement dit, le fossé entre la théorie et la pratique) en décelant et en supprimant les barrières qui ralentissent ou freinent l’adoption d’interventions éprouvées en santé et de pratiques fondées sur des données probantes.
Pour les demandes faisant intervenir des Autochtones
La présente possibilité de financement s’adresse à des candidats qui se déclarent Autochtones (Premières Nations, Inuits ou Métis) ou qui attestent de relations significatives et culturellement sécurisantes avec des Autochtones, et ce, dans le but :
- d’accorder la priorité aux communautés des Premières Nations, des Inuits et des Métis, y compris les communautés autochtones en milieu urbain, dans la conduite de leur programme de recherche;
- de promouvoir la sécurisation culturelle et la participation appropriée des chercheurs œuvrant auprès des Autochtones, de façon à assurer l’établissement de relations respectueuses et significatives;
- d’ajouter de la valeur à la recherche par l’utilisation de cadres théoriques et conceptuels pertinents et de protocoles de recherche adaptés à la culture autochtone, y compris de méthodologies autochtones;
- de favoriser l’équité et le perfectionnement des stagiaires, des chercheurs et des utilisateurs des connaissances qui sont d’origine autochtone.
Gardien du savoir
- Un gardien du savoir (ou détenteur des connaissances) est une personne autochtone de tout âge qui possède les connaissances culturelles nécessaires pour les activités ou le projet de recherche proposés, selon ce qui est reconnu, validé et attesté par la communauté autochtone.
PCAP®1 et approche fondée sur les distinctions
Les principes de propriété, de contrôle, d’accès et de possession (PCAP®1) des Premières Nations servent d’exemple d’autogouvernance, mais sont propres aux Premières Nations et non aux communautés, aux regroupements et aux organisations inuits, métis ou autochtones en milieu urbain. Les IRSC reconnaissent qu’une approche fondée sur les distinctions s’impose pour s’assurer que les droits, les intérêts et les situations propres aux Premières Nations, aux Inuits, aux Métis et aux communautés autochtones en milieu urbain sont reconnus, affirmés et respectés.
Principes FAIR
Les principes FAIR pour la gestion et la gérance des données scientifiques sont le reflet des meilleures pratiques internationales pour assurer que les biens numériques sont plus faciles à trouver et plus accessibles, interexploitables et réutilisables.
- Faciles à trouver : Avant de pouvoir utiliser/réutiliser des données, il faut d’abord les trouver. Les données et les métadonnées devraient être faciles à trouver à la fois pour les humains et les ordinateurs. Les métadonnées lisibles par machine sont essentielles à la récupération automatique des ensembles de données et des services.
- Accessibles : Une fois que l’utilisateur a trouvé les données voulues, il doit savoir comment y accéder, possiblement en passant par un processus d’authentification et d’autorisation.
- Interexploitables : Les données doivent habituellement être intégrées à d’autres données. Elles doivent aussi être compatibles avec des applications ou des flux de production aux fins d’analyse, de stockage et de traitement.
- Réutilisables : À terme, les principes FAIR visent à optimiser la réutilisation des données. Pour ce faire, les données et les métadonnées devraient être bien décrites de façon à pouvoir être reproduites et/ou combinées dans différents contextes.
Pour plus d’information sur les principes FAIR, consultez le site Web GO FAIR (en anglais seulement).
Administration des fonds
Les subventions des IRSC sont généralement administrées par le service des finances d’un établissement ou d’un organisme autorisé à administrer des fonds des IRSC à la suite d’un examen financier et de l’admissibilité.
L’organisme désigné comme établissement payé peut devoir se soumettre à un examen financier et de l’admissibilité, si ce n’est pas déjà fait, pour pouvoir administrer les fonds de la subvention. Il peut aussi devoir signer une entente de financement avec les IRSC. Au besoin, un candidat sélectionné peut choisir de confier l’administration de ses fonds à un établissement ou organisme admissible des IRSC.
L’établissement payé ne recevra pas les fonds du candidat sélectionné s’il n’a pas d’abord été autorisé à administrer des fonds.
Si votre établissement payé n’est actuellement pas autorisé à recevoir des fonds des IRSC, veuillez communiquer avec le Centre de contact pour connaître le processus à suivre.
Références
- PCAP® est une marque déposée du Centre de gouvernance de l’information des Premières Nations (CGIPN).
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